Le train termine sa course en périphérie de la ville, et c'est en car que nous finiront le trajet. Nous ne savons rien de cette ville, mais à peine fait quelques mètres, nous voilà déjà parachuté en orient. Le café est fort et des odeurs variés provenant d'étalages d'épices multicolores s'échappent dans les ruelles. Partout dans la ville, des chats sans propriétaires se frotte aux passants et reçoivent quelques caresses en retour. Impossible de parcourir une allée sans que des rabatteurs vous promettent que leur restaurant est le meilleur du quartier. Plus aucun prix n'est fixe et il n'est pas rare de parlementer longtemps avant d'échanger une carpette contre un montant de lires qui semble raisonnable. Les chants des muezzins, les klaxons des taxis et les cris d'un vendeur se promenant avec son plateau de pâtisserie en équilibre sur sa tête, ryhtment les journées de cette villes aux milles facettes.


Il y a une rue pour tout ce que vous cherchez. La rue des boîtes de nuit, la rue des hôtels ou la rue des... chaussures. Oui, une rue entière remplie de magasin qui vend des chaussures nike, new balance, dior et j'en passe. Toutes des vraies, à moindre coût. On parvient à s'acheter 2 chemises et 1 paire de nike pour la modique somme de 5 CHF. Une bonne affaire, pas comme celle qu'on a réalisée en se faisant attrapé devant l'Aya Sophia par un turc à une seule oreille qui nous amènera dans son magasin pour nous vendre un set à café turc à 30€ (son prix de base était à 120€).


La nuit, la vie ne semble jamais s'arrêter. Il est 4 heure du matin et nous sommes dans la rue ou plutôt le quartier des boîtes de nuit. On entend de la musique à plein tube provenir d'à peu près partout sur les toits.


(Je te laisse écrire la fin si tu veux, moi j'ai vraiment la flemme)

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